La découverte d'un nouveau monde.

Des esclaves du roi couraient partout dans la ville et dans les régions de la grande ville de Lighstheer. Depuis plusieurs années, le monde d'Armonik était calme. Mais depuis quelques mois, il y avait des rumeurs que les humains du Sud avaient découvert une bay, dont un bateau pouvait s'accoster, vers le Sud du continent. Le roi devait absolument trouver le plus rapidement possible un sceptre qui lui permettrait d'avoir un meilleur contrôle sur la magie libre. Les esclaves avaient été envoyés pour afficher une demande d'aventurier. Le roi recherchait de simples aventuriers et non des héros, il ne pouvait pas sacrifier ses soldats, car il devait gardé leur territoire sécurisé contre les attaques des hommes de l'ouest. Ceux qui serait intéressé étaient demandés de bien vouloir se présenté a l'auberge du chevalier gris. Rendu a l'auberge de précisé qu'ils était la a la demande du roi, et le roi en sera informé aussitôt. Le lendemain un duché viendra vous chercher et l'apporter au château pour une audience avec le général de l'armée.

Alai était entrain de voler un marchand dans les ruelles de la grande ville quand il aperçut un esclave courir à toute allure. Il savait reconnaître un esclave du roi a des kilomètres de lui, des supposés esclaves qui étaient habillés avec du linge de la classe moyenne, ils paraissent d'un simple citoyen de la ville et non d'un esclave. Alai ramassa les fruits qu'il avait volés et courus derrière l'esclave, mais en restant toujours bien caché. Un voleur ne pouvait pas se faire identifier par des citoyens sinon sa vie serait en danger surtout dans cette ville, et il ne pouvait surtout pas se faire pendre quand il avait quelqu'un toujours sous sa charge. Il suivit l'esclave pendant environ une demi-heure quand il s'arrêta et cloua une feuille après un mur dans la ruelle plus bas. Alai arrêta aussitôt de le poursuivre et alla lire ce qu'il y avait de si urgent pour que l'esclave du roi affiche une feuille avec la signature du général Kang, le général de l'armé Sheer, dans les basses rues de la ville. En lisant, Alai sourit un tout petit peu, il savait que c'était sa chance de donner une vie raisonnable à sa protégée. Il prit la feuille et quitta dans l'ombre vers...... en réalité, personne ne sait ou il était partit.

npg

Alai, un simple voleur qui a sous son aile une petite fille dont vous serez pourquoi au cours de l'histoire s'il veut bien raconter.

Un félin noir se dépalçait à travers champs. Sans but aparants, ils se déplaçait à la recherche d'une ville où il pourrait bien y avoir quelques chose d'intéressant à faire. Speranzes aimait le calme qui régnait autour de lui. Il y avait un bon moment qu'il n'avait pas eu de temps pour se reposer, mais il ne cherchait pas cela. Il avait besion d'action dans sa vie, ce fut pourquoi durant un moment de sa vie il choisit de devenir assain, mais ce fut une erreure de sa part. N'aimant pas trop resasser le passé, il se secoua et courut pour arriver assez rapidement à la ville qu'il venait de remarquer.

Après un court moment de course, il arriva au limites de la ville. Speranzes pouvait apercevoir des gens qui pratiquaient leurs occupations habituel. Il s'assura qu'il n'y avait personnes assez près de lui pour le voir, quand il en fut certain il reprit forme humaine. "Maintenant, voyons se que cette ville peu bien m'offrir."

D'un pas lent il se dirigea vers les habitations. Il regarda les habitants de cette ville, tous semblaient dévoués à leur travail. Cela lui prit un moment, mais il vint à se rendre conte que certaines personnes chuchotaient sur son passage et qu'il se faisait regarder étrangement. Il était consient qu'il était différent, mais les différences l'habitant étaient intérieur. Il en déduit que les elfs lui ressemblant étaient rare dans le parages. Pour ne plus trop attirer l'attention il plaça sa cape pour qu'elle couvre son torse et il tira le capuchon de celle-ci sur son visage.

Il arriva au village. Il y avait une agitation différente de celle qu'il avait perçu au alentoures de celui-ci. "Je crois que je vais trouver se que je cherche ici." Il se déplaça dans la ville et il fini par trouver se qu'il cherchait. Il avait remarqué que quelques personnes était réunnient autour d'un mur. Il s'en approcha et vit une feuille, une demande pour des guerriers. Ils devait se rendre à l'auberge du chevalier gris. Alors il repartit, à la recherche de cette auberge tout en fesant bien attention de ne pas trop de faire remarquer.

Maryla décida de se rendre en ville à l’aide de sa licorne-cheval, faute d’avoir retrouvé Amandil, son griffon. La rumeur courait dans les environs qu’un roi recherchait des guerriers pour une mission. L’elfe réfléchit un moment, elle n’était pas tout à fait un guerrier, mais elle savait ce battre et se faire discrète. Elle pourrait toujours être utile. Après quelques minutes sa monture arriva. Elle monta sur le dos de la bête et partie au galop.

Elle chevaucha de longue heur, pendant lesquelles Maryla laissa vogué ses pensées au même rythme que la nature changeait autour d’elle ayant quitté la forêt où elle avait élue domicile plusieurs années au paravent.

Sentant qu’elle s’approchait d’une ville ou village elle ralentit la cadence et se mit à trotter lentement. Sa monture commençait à s’affoler signe qu’un être vivant autre qu’un animal pur se trouvait à proximité. Elle remonta alors sa capuche et descendit de la bête blanche pour marche à ses côtés. "Du calme ma belle, ce n’est sûrement rien " Une silhouette ce dessina devant elle.

En avançant un peu plus vers la jeune femme (selon la forme du corps de celle-ci). Elle entendit alors un cri provenant d’un aigle. Levant la tête elle aperçus Golrin volant vers la jeune femme. Sans aucun doute il s’agissait de lady Gayel elle alla donc la rejoindre. Un peu avant d’arriver à la hauteur de Gayel, Maryla laissa repartir sa licorne vers la maison. Puis aborda la jeune femme qui se dirigeait dans la même direction qu’elle.

" Bonjour Lady Gayel, Puis-je continuer avec vous ? Mon cheval n’aime pas les villes, elle est repartie chez nous et je suis à pied "

Dans chaque ville du monde, plusieurs communautés évoluent, et ce dans leur quartier respectifs. Certains sont destinés à la bourgeoisie et d’autres aux truands et aux pires scélérats. Ces quartiers mal famés sont constitués de ruelles sombres parsemées de long en large par des immondices de toutes sortes et de toutes provenances.

Dissimulée sous une lourde cape de velours noir, elle arpente de façon erratique ces ruelles lugubres. Elle se sait suivi par quatre hommes dégageant une odeur nauséabonde, mais n’en tient nullement compte et continue son chemin tout aussi calmement. Elle n’attend qu’un geste de leur part pour riposter, question de ne pas être à l’origine des évènements qui ne sauraient tarder. Un homme prend les devants sur les autres et l’empoigne par l’épaule avant de la plaquer rudement contre le mur. Les festivités sont engagées, à son grand bonheur. Toujours cachée par sa cape, elle se prépare à l’attaque imminente et attend avec impatience. L’homme n’ayant pas l’air très pressé, elle tente de s’échapper pour l’encourager à agir. Elle s’amuse follement de se petit jeu et tout ça sans que les hommes n’en aient la moindre idée. Le chef du groupe fait tomber la capuche vers l’arrière. La cascade blonde de la chevelure de la femme s’en échappe tout en dissimulant toujours son visage. Les hommes se réjouissent du lot qu’ils ont eu en poussant des cris admiratifs et en sifflant. Le chef s’enhardit et fit tomber le reste de la cape sur le sol en laissant se dévoiler le corps de la femme, gainée dans un ensemble de cuir noir comme elle les aime tant. Les truands se regardent en riant, ils ont tous la même idée, celle de profiter de la situation au maximum.

Placé de cette façon, le dos au mur, les hommes n’ont pu voir les ailes de la femme, encore repliées sur son dos. Ils ne se doutent donc absolument pas du genre de créature qu’ils ont devant les yeux, mais cela ne saurait tarder. Morte d’impatience, elle décide d’accélérer les choses considérablement. Elle relève doucement la tête et pose ses yeux noirs d’ébènes dans ceux de l’homme devant elle, il est intrigué par la manœuvre mais soutient tout de même son regard jusqu’à ce qu’autre chose attire son attention. Ses yeux se posent sur ses lèvres d’un rouge écarlate. La femme lui sourit. En l’espace d’une seconde, l’expression de l’homme change du tout au tout, il devint livide. Il venait de poser les yeux sur les longs crocs d’une blancheur immaculée émergeants de la bouche de la Déesse Vampeska.

Dans un mouvement presque imperceptible pour de vulgaires yeux mortels, elle bondit sur l’homme lui faisant face et plantant ses crocs à la naissance de sa jugulaire elle bu jusqu’à la perte de conscience de sa victime. Pendant ce temps, ses comparses prirent la fuite à travers le dédale des ruelles, mais malheureusement pour eux les sens aiguisés de la vampire lui permirent de retrouver les trois autres sans grande difficultés. Elle put donc se repaître de sang frais, de sang humain, jusqu’à plus soif.

Cela faisait tellement longtemps qu’elle n’avait goûter à du sang humain, elle se délectait de la moindre subtilité du sang de ses différentes victimes. Elle en avait assez du bétail, sa vraie nature de prédateur reprenait le dessus et son agressivité à la chasse n’en était que plus grande encore. Elle retourna sur ses pas afin de récupérer sa cape de velours noir, qu’elle avait trouvée plus discrète que celle de cote de maille pour se promener dans les rues. La Déesse réajusta sa tenue et se regarda dans la première vitrine qu’elle rencontra afin de s’assurer qu’il ne lui restait plus une goutte de sang sur le visage. Elle reprit son chemin et se rendit au Pub où elle avait demander à Kasim de l’attendre pendant sa chasse. Elle y pénétra, jeta une œil sur les lieux et rejoignit son apprenti assis au comptoir. Ils sortirent ensemble quelques minutes plus tard. En franchissant le seuil de la porte une feuille placarder sur le mur d’en face attira l’attention de Vampeska. Il s’agissait d’une annonce du Roi proclamant qu’il recherchait des aventuriers pour l’aider dans une quête. L’annonce disait aussi aux intéressés de se rendre à l’auberge du Cheval Gris. Vampeska consulta Kasim du regard et ils prirent ensemble la décision de se joindre à cette expédition. Cela permettrai en même temps de parfaire les connaissances de l’apprenti sur les méthodes de combats.

Il prirent donc ensemble le chemin de l’auberge du Cheval Gris.

Speranzes se déplaçait toujours dans la ville, il était surprit de ne pas avoir encore trouver l'auberge. Il semblait qu'il s'enfonçait dans la ville."Ils auraient pu indiquer où se trouvait cet auberge, je n'aurais pas perdu mon temps à la chercher." Il devenait quelque peu impatient.

Ne sachant trop commen, il se retrouva dans un cartier plustôt mal fréquanté, en fait c'est ce qu'il semblait. "Je vais devoir retourner sur mes pas et demander mon chemin je crois." Il s'appretait a revenir en arrire quand il apperçut un homme sur le sol. Il s'en approcha, il semblait inconsient. Speranzes remaqua un légère marque sur son coup."Il y a a longtemps que je n'ai pas entendu parler de vampires. Ce ne sert a rien d'essayer de le réveiller, il va rester inconsient pour un moment." Speranzes se détourna de l'homme sur le sol et il entreprit de faire le chemin inverse de celui qu'il avait empreunté pour arriver là.

En ayant vu cet acte de vampirisme il se rappela que, pour sa part, il n'avait pas gouté a du sang humain depuis de très longues années. Toutefois il n'en sentait pas le besion. Il se demandait si il rencontrait un vampire si il serait capable de savoir qu'il en était un. Cette question s'effaça de son esprit et il continua sa marche.

Arrivé à son point de départ, c'est-à-dire l'affiche, il interpela un homme.

-Excuser moi mon bon monsieur. Pourriez-vous m'indiquer commen me rendre à l'auberge du chevalier gris?

L'homme lui expliqua et cela était simple. Speranzes entreprit un marche lente pour se rendre à l'auberge qui n'était pas loin.

Speranzes arrive à l'auberge. "L'auberge du chevalier gris. Bien alors c'est ici que la quête doit commencer." Il s'en approcha et remarqua que quelque chevaux était autour de celle-ci, elle ne semblait pas trop acchalendée, néanmoins elle n'était pas vide. Un cheval sans celle attira son attention, il le ragarda quelque instant. Il ne voyait pas cela très souvent, à sa connaissance peu de gens avait assez de respect et assez d'habilité à chevaucher pour ne pas seller leur chevaux.

Il entra dans l'auberge. En ville, au milieu de la foule sa capuche était discrette, mais entré dans l'auberge, un homme au visage et au corps totalement caché par une cape attirait beaucoup l'attention. Il retira sa capuche pour libéré la vu de son visage, ses cheveux noirs tomberent devant ses yeux, volant à moitié leur couleur différentes. Speranzes possédait les oreilles pointu et l'air de fierté des elfes. Il ne ressemblait pas à un vampire, on ne pouvait voir ses dents, car elles étaient discretes, mais les gens voyaient qu'il n'était pas un elfe normale.

Sur le moment il ne portant pas atention au gens de l'auberge, sachant bien trop qu'il serait observé pas quelque uns. Il se dirigea vers la réceptioniste de l'aubrege puis il se détourna. Il préférait attendre un peu et voir si d'autre personnes allaient pour cette quête. Alors il chercha une place pour s'asseoir.

Il regarda dans l'auberge pour se trouver un endroit libre où il pourrait rester un peu à l'écart. Puis il remarqua un homme dans un coin. "Et bien Zero, il y a longtemps que je ne l'ai vu" Spreanzes se dirigea vers lui. Arrivé à lui, il s'asit à ses coté et lui adressa la parole.

-Il y a longtemps que nous nous somme vu Zero, qu'est-ce qui vous amène ici? La quête proposée par le roi?

(hrp: je me demandais kan l'instigateur de cette quête allait faire qqch, on attends en qq sorte après lui...)